AccueilJe viens de vivre une étrange expérience...
Ce soir, alors que je me trouvais au Centre de Secours des Riceys pour y récupérer deux de mes enfants après une séance d'éducation physique des Jeunes Sapeurs-Pompiers, j'ai été pris à partie publiquement par un conseiller municipal, qui - bien que Sous-Officier Sapeur-Pompier Volontaire - avait probablement oublié qu'un Centre de Secours est et doit rester un lieu politiquement neutre !
Ce "Sous-Officier, conseiller municipal, "rédacteur en chef" de l'Echo Riceton" (décidément on aime les casquettes multiples dans ce village) s'en est pris à moi au prétexte que le "Riceton Grognon" avait osé qualifier son périodique de "Pravda locale".
Pas de bol ! Je ne suis pas l'auteur de cette déclaration !
Je vous passerai les détails de notre altercation, elle relevait plus du mauvais numéro de cirque que du débat démocratique et citoyen !
Le leitmotiv de ce brave homme tenait en peu de mots : "sur votre forum vous ne faites que cracher votre venin anonymement"
J'ai commencé par lui faire remarquer que, là encore pas de bol, je m'exprime sur ces pages sans me cacher derrière un quelconque pseudonyme. Celà fait des années que j'anime des forums sur internet, sans faire mystère de mon identité. Ce n'est pas aux Riceys que je vais commencer !
Je lui ai aussi suggéré d'exercer son droit de réponse. Je pense que personne ne s'opposerait ici à ce qu'il exprime son point de vue, en toute liberté.
Visiblement, cette idée ne l'enchante pas ! Dommage ! Quand on affirme vouloir le dialogue, pourquoi le fuir ?
En tout état de cause, je ne suis pas le "coursier" du "rédacteur en chef de l'Echo Riceton". S'il a des choses à dire, s'il estime avoir été mis en cause, qu'il s'exprime !
De plus, sauf erreur de ma part, il n'a JAMAIS été mis en cause nommément. C'est l'objectivité de sa publication que l'administrateur a remis en question, pas l'homme. Lui, par contre, n'hésite pas une seconde à porter publiquement des accusations graves et sans fondement. En droit français celà s'appelle de la diffamation !
Je ne saurais trop vous conseiller, Monsieur le rédacteur en chef de l'Echo Riceton, de faire preuve de plus de discernement à l'avenir !
Ce soir, alors que je me trouvais au Centre de Secours des Riceys pour y récupérer deux de mes enfants après une séance d'éducation physique des Jeunes Sapeurs-Pompiers, j'ai été pris à partie publiquement par un conseiller municipal, qui - bien que Sous-Officier Sapeur-Pompier Volontaire - avait probablement oublié qu'un Centre de Secours est et doit rester un lieu politiquement neutre !
Ce "Sous-Officier, conseiller municipal, "rédacteur en chef" de l'Echo Riceton" (décidément on aime les casquettes multiples dans ce village) s'en est pris à moi au prétexte que le "Riceton Grognon" avait osé qualifier son périodique de "Pravda locale".
Pas de bol ! Je ne suis pas l'auteur de cette déclaration !
Je vous passerai les détails de notre altercation, elle relevait plus du mauvais numéro de cirque que du débat démocratique et citoyen !
Le leitmotiv de ce brave homme tenait en peu de mots : "sur votre forum vous ne faites que cracher votre venin anonymement"
J'ai commencé par lui faire remarquer que, là encore pas de bol, je m'exprime sur ces pages sans me cacher derrière un quelconque pseudonyme. Celà fait des années que j'anime des forums sur internet, sans faire mystère de mon identité. Ce n'est pas aux Riceys que je vais commencer !
Je lui ai aussi suggéré d'exercer son droit de réponse. Je pense que personne ne s'opposerait ici à ce qu'il exprime son point de vue, en toute liberté.
Visiblement, cette idée ne l'enchante pas ! Dommage ! Quand on affirme vouloir le dialogue, pourquoi le fuir ?
En tout état de cause, je ne suis pas le "coursier" du "rédacteur en chef de l'Echo Riceton". S'il a des choses à dire, s'il estime avoir été mis en cause, qu'il s'exprime !
De plus, sauf erreur de ma part, il n'a JAMAIS été mis en cause nommément. C'est l'objectivité de sa publication que l'administrateur a remis en question, pas l'homme. Lui, par contre, n'hésite pas une seconde à porter publiquement des accusations graves et sans fondement. En droit français celà s'appelle de la diffamation !
Je ne saurais trop vous conseiller, Monsieur le rédacteur en chef de l'Echo Riceton, de faire preuve de plus de discernement à l'avenir !
